Programme : Création de la médiathèque de Templeuve.
Le projet s’inscrit dans un volume limité à RDC, le repère doit être immédiatement lisible, et donc unitaire, et sa charge symbolique forte. L’unicité du projet découle de sa volumétrie simple, issue de la déformation sinusoïdale d’un parallélépipède en évitant tous les jeux de fractionnement perturbateurs et anecdotiques. il se déroule tel une façade unique afin de créer une simplicité de langage et de compréhension. La création de courbes au détriment d’angles permet de créer une fluidité et d’apporter la charge emblématique nécessaire à la création d’un signal. Les courbes répondent aussi à la volonté de créer un bâtiment qui « abrite », qui soit rassurant et accueillant, la charge symbolique de la courbe étant identifiée à la douceur de la féminité. Le choix du bardage bois comme matériau de façade a été comme une évidence, il fait partie de ces matériaux aux caractères chaleureux identifiés par les gens comme étant une matière agréable et rassurante. il permet de donner cette dimension humaine au bâtiment nécessaire pour créer l’intimité avec le public.